Assemblée générale exceptionnelle de l’antenne Métropole
de l’ASSOCIATION ZANAKY LOKARO

les 7 et 8 JUILLET 2012 A Baudrières

Précision tout les points votés de cette AGE ne pouront être validés qu’avec le votes de membres du bureau de la Réunion.

 Présentation des personnes présentes

Anne-Marie Mignet (présidente Générale), Marc Platret (vice-président métro), Jean-Martin Feisthauer (vice-trésorier), Véronique Bianchi (vice-secrétaire), Roseline Gzeszczak, Didier B., Stéphanie Culier, Denis Bianchi, Cécile Meignant, Patricia Bonneville, Joseph Mignet, Marie-Odile Mignet, Mariette Mignet

13 adhérents présents + 4 procurations dont une donnée à Anne-Marie, une à Denis et deux à Marc
L’AG s’est tenu pendant 9h au total du samedi matin au dimanche midi.

NB. Pour des raisons de clarté j’ai rassemblé les différentes interventions par thème, vous ne retrouverez donc pas la hiérarchie dans le temps.

 Ouverture de la réunion par le vice-Président métro Marc P.

« Il m’est agréable de vous accueillir à Baudrières, et en présence d’Anne Marie, pour débattre des projets à venir au profit des enfants de Lokaro, durant ce week-end.
Il m’apparait également important de souligner en introduction à cette journée de travail et d’échanges qu’il est indispensable de bien informer les adhérents de l’île de La Réunion.
Cette rencontre sans eux ne se fait pas en dehors de nos partenaires et nos propositions exprimées doivent très naturellement trouver leur prolongement le 29 septembre 2012 avec eux, et avant peut-être et surtout après… »

Pour enrichir de débat, il est important d’écouter la parole propre de chacun.
La vraie richesse du groupe est dans le partage de cette diversité.

Ordre du jour présenté

 

1-  Fonctionnement administratif

STATUTS :
–       Précision des statuts pour les votes : quorum fixé à la majorité des deux tiers des présents.
–       autre voir Ethique

BUREAUX : répartitions des tâches et fonctionnement

Bureau Métropole : Historique de la création du bureau métropole (bureau-bis) voté par les deux bureaux en janvier 2012. Le principe d’avoir 2 bureaux a été proposé pour résoudre les problèmes de distance. Comment fonctionner pour que les deux bureaux soient en adéquation, travaillent main dans la main. Mariette M. : ce n’est pas une affaire d’éloignement mais plus des difficultés communication. Une solution serait possible : la téléréunion conversation téléphonique avec plusieurs personnes dans des lieux différents.

La fonction de vice-présidence est de soulager la présidente (Anne-Marie M.), déléguer responsabilise aussi chacun dans son rôle ; et permet aussi d’avoir une vision plurielle.

L’idéal serait d’avoir un représentant de chaque bureau présent à au moins une réunion par an de l’autre bureau pour discuter et échanger les idées, car il est nécessaire de dialoguer. A prévoir lors des différents déplacements de chacun.

Marc P. a organisé une rencontre le 29 septembre 2012 à la Réunion. Il demandera comment le bureau de l’île veut fonctionner et soumettra les questions votées à l’assemblée présente pour validation ou discutions. Malheureusement la vice-présidente Réunion Nicole ne sera pas présente à la réunion, elle sera en métropole, mais il la rencontrera à Lyon en octobre.

– Cécile M. est ok pour être trésorière métropole à valider à la prochaine AG en attendant elle assume quand même la compta, le trésorier en titre étant Jean-Martin F.

– Véronique B. a mis à jour le listing des adhérents il manque des précisions, Jean-Martin F. veut bien se charger de récupérer les infos.

Bureau Réunion :Le bureau de la Réunion est à redéfinir, car le bureau n’est représenté à ce jour que par la Vice-présidente Nicole et la présidente générale AM.

Noëlle fait la comptabilité mais n’est malheureusement pas intéressée pour prendre le titre de trésorière. Didier B. dit qu’il faut préciser que le trésorier n’est pas responsable de l’asso ; Seul le président est responsable.

A la Réunion, l’engagement dans le temps de ce bureau est difficile, il y a aussi pleins d’interrogations et les membres sont soucieux des dérives éventuelles (qui sont fréquentes dans de nombreuses associations humanitaires à Madagascar).

Anne-Marie M. explique qu’il y a une réunion mensuelle avec les adhérents actifs de l’île.

Patricia demande ce qui se fait pendant ces réunions : On parle des projets en cours et AM propose d’être accompagnée aux prochaines missions, on parle aussi des thématiques, par exemple il y a « la santé des enfants » à l’ordre du jour du bureau du 13 juillet (voir référents).

Fonctionnement des deux bureaux :

 

Nous proposons à l’issus de cette réunion de faire une liste de questions avec nos réponses votées afin que Marc P. les soumette au vote des membres à la Réunion le 29 septembre.
Proposer à la Réunion ce fonctionnement et valider son fonctionnement.

 

ADHERENTS :

– Le nombre d’adhérents à jour de cotisation serait à préciser tant sur la métropole que sur l’île de la Réunion.

– Sensibiliser les adhérents sur leur rôle qui implique un engagement actif pas forcément pour des missions sur place et faire la différence avec le donateur qui soutien sans s’engager sur le fonctionnement propre. L’adhérent devrait donner sa procuration à chaque AG.

Un nouveau formulaire a été fait par Véronique B. pour clarifier l’adhésion ou les dons.

Elle demande à ceux qui prennent les adhésions d’insister sur les adresses email des adhérents et donateurs pour envoyer des infos régulièrement car les courriers sont trop onéreux. On définira des référents pour chaque adhérent pour garder le lien humain.

-Pour limiter les courriers, il est convenu d’envoyer en fin d’année un courrier regroupant : le compte-rendu des 2 AG (Réunion+Métro), le bilan moral et financier, l’appel de cotisation, les vœux personnalisés par les personnes qui ont contact avec chaque adhérent (à définir)

Véronique B. préparera en fin d’année les enveloppes préparées qu’elle enverra à chaque référent d’adhérent.

 

REFERENTS : D’une manière générale pour que les missions soient cohérentes chacune entre elles et que nous avancions de concert, il nous semble intéressant de définir des référents par thématiques. Ces référents seraient de préférence des personnes qui ont déjà eue une action de terrain et pourront apporter l’historique et le contexte nécessaire à la réflexion ou au prolongement de l’action (ils n’auraient pas de rôle d’accepter où de refuser un projet mais plutôt de donner un avis et de conseiller grâce à leurs expériences de terrain).

Pour alimenter la réflexion sur le médical pour la réunion du 13 juillet à la Réunion, par exemple, nous proposons que le groupe se mettre en relation avec Denis B. qui a mis en place le projet santé et le docteur Myriam qui reste le référent médical de l’association.

Discution sur l’utilité de trouver un référent pour chaque thématique et nous sommes d’accord sur sa nécéssité. Les thématiques seraient les suivantes nous proposons à chaque membres de l’association de donner son avis et de se joindre à nous.

Médical : Denis B. qui se propose naturellement d’être le référent médical en France et Réunion et est en lien permanent avec le Dr Myriam.

Définition du référent : Didier B. dit que le référent a deux missions coordinateur et expert

Expert : qui connait la thématique / Coordinateur : centralise les informations

Proposition des référents :

les référents cités sont non exhaustifs, la liste devra être complétée par les adhérents Réunion
Référent Médical : Denis Bianchi (général) Dr Myriam (Madagascar)
Référent Construction : Anne-Marie Mignet (général)
Référent Agricole : Stéphanie Culier (métro) et Lauren Lebon (Réunion)(?)
Référent Educatif : Anne-Marie Mignet (général)
Référent Scolaire : Anne-Marie Mignet (général)
Référent Communication : Didier Bonneville
Référent Périscolaire : Véronique Bianchi (métro)

  

SITE INTERNET :

-Proposition de Véronique B. de faire une fiche sur le blog des différents intervenants qui le souhaite par exemple les référents par thématique afin que chaque membre puisse se reconnaître entre eux.
-Faire un forum de discussion
-Faire un organigramme de l’asso avec ou sans photo
Ces propositions ne rencontre pas l’intérêt de tous : « Trop d info, tue l’info ! »
-Mariette M. propose de communiquer avec Salle de réunion téléphonique ou on peut communiquer facilement c’est pas cher, rapide et léger à organiser.
Idée retenue par le groupe à faire valider sur l île.

 

TRANSPORT : Jean-Martin et des personnes de la Réunion sont en rapport avec un mécène qui mettrait en place une voiture avec chauffeur à Madagascar. A suivre.

 

2-ETHIQUE : avoir des rapports d’égal à égal

 

En préalable
Anne-Marie M. cite Denis B. : « Agir sans nuire ».
Il n’est pas toujours évident d’amener n’importe qui sur place. Il est important de vérifier que l’action proposée corresponde aux besoins de la population et à l’éthique de l’association. Ne pas aller trop vite, travailler avec eux selon leurs besoins et dans le respect. Dire oui aux valeurs universelles et non à l’uniformisation, la bonne volonté et l’amour ne suffisent pas.
Observation, humilité, écoute sont les maitres mots.
Comment être solidaire avec des humains de la planète qui vivent dans un pays très pauvre ?
Albert jacquard : « le seul moyen de faire sortir les pays pauvres de la misère c’est l’éducation ».
Anne marie dit que : Partager est nécessaire et un juste retour des choses (l’occident envers le Sud).

 

 STATUTS : Distribution des statuts par A-Marie M.
Nous proposons une modification des statuts car les art 8 et art 11 sont très limitatifs à discuter avec les membres de la Réunion.

Frais de gestions : Précision de Véronique B. concernant les frais : pour les remboursements de frais, il y a une confusion dans les statuts entre : les « frais personnels » et les « avances de frais » que les bénévoles font à l’association. Ces derniers sont liés au fonctionnement de l’association par exemple les suppléments de bagages pour le matériel transporté pour Mada où les frais de courrier ou de bureau qui ne doivent pas être supporté par les bénévoles.

Il faut donc prévoir dans le règlement intérieur des frais de gestion pour le fonctionnement et les faire figurer sur le budget prévisionnel, les dédommagements de frais ne doivent pas figurer dans les statuts mais dans un règlement intérieur. 

Nous souhaiterions que l’association participe totalement aux frais des missions obligatoires et nécessaires pour la vie de l’association. Il est évalué que 3 voyages dit « de gestion » par an sont le minimum. Aujourd’hui c’est AM qui supporte ces frais personnellement, puisque c’est elle qui assure la gestion sur place. Nous pensons que ce fonctionnement n’est pas juste et viable dans le temps et pourrait nuire à la bonne marche de l’association. Nous votons à l’unanimité l’attribution d’un budget de 3 voyages de gestion par an que nous évaluons de 2000€ (au départ de la Réunion), à réajuster si hausse des tarifs.

Il serait souhaitable d’avoir un bilan prévisionnel comprenant des frais de gestion, mais concernant les actions sur place, il doit rester souple et laisser la place à la réactivité car le fonctionnement à Madagascar n’a rien à voir avec le fonctionnement en France et les besoins sont souvent évalué « au jour le jour » plutôt que pour demain. Il nous faut nous adapter à ce rythme malgache et ne pas avoir de frein à nos actions.

Aide au frais de mission :

Marc P. explique que beaucoup de personne ont des projets intéressants de missions pour l’association et seraient prêt à venir mais n’ont pas le moyen de financer un voyage. Il propose d’envisager que l’association pourvoit aux frais de certaine mission. Véronique ajoute que les personnes pourraient aussi monter des actions pour financer leur billet à condition que l’utilisation des fonds soit clairement communiquée aux donateurs et que le projet de mission avec son budget soit approuvé en AG. Ce qui était contraire aux statuts jusqu’à présent.

L’assemblée approuve le principe d’aide au frais de mission et la possibilité de monter des opérations d’autofinancement qui devra être présenté en AG et soumis à vote à l’unanimité au cas par cas, avec analyse du caractère bénéfique de la mission pour les enfants.

 

3 – FILM 

Concernant la diffusion et l’utilisation du film de Julia B

L’idée de départ de Marc P. et AM était de faire un film pour rendre compte de l’action de l’association pour communiquer dans les écoles et autre.

Le bureau de l’association ne voulait pas de film professionnel à l’origine, les membres de la Réunion proposaient de faire un film eux-mêmes pour des raisons financières. Ce film n’émane donc pas d’une demande du bureau de l’association qui aurait été voté, mais de deux membres dont la présidente. Didier propose de reconnaître la demande des membres du bureau d’alors, de faire eux-mêmes des films. Toutefois, l’association a la chance aujourd’hui d’avoir un film mis à sa disposition et tout le monde reconnaît sa qualité, sa sensibilité et les bénéfices d’image que l’association en tirera.

Le film est la propriété de ceux qui l’ont commandité, réalisé et financé.

Marc et AM propose d’assumer le reste de sa fabrication à leur frais (avec 500 exemplaires) et d’en proposer à l’association à prix modeste (4€ ?) pour qu’elle les revende où les donne (l’association pourra les revendre à 10€ ou 15€ et même plus). NB : Il faudra se mettre d’accord avec AM et Marc sur un prix de vente uniformisé par tout les vendeurs.

Vote à mains levée pour l’achat par l’association de 300 DVD à 4 € = 1200€ :

14  « Pour » dont 10 présent et 4 procurations – 2 Abstentions – 1 « contre » qui souhaite un nombre de dvd moins important.

= la décision est avalisée par l’assemblée métro présente.

Attente d’une discussion avec le bureau Réunion pour qu’une décision se prenne à la Réunion.

Sur la diffusion du film : un grand nombre des présents pense que c’est la priorité et qu’il faut faire vite diffuser maintenant car il y a une demande. Témoignage de la première projection à Prémain et à St Leu.

Nous sommes d’accord sur le fait que le contenu du film en reflète bien l’éthique de ZL car ce sera un outil de communication important et il doit refléter fidèlement la situation et ce qui s’y passe. Nous souhaitons avoir aussi le regard des intervenants locaux sur le film.

Le DVD comprends également 4 petits films faits pour les écoles :
-Hygiène et alimentation.
-Education.
-Atelier.
-Echanges.

 

4 – ACTUALITES SUR LE TERRAIN, ETAT DES LIEUX  

Anne-Marie M. fait un compte rendu de l’actualité

 

 EDUCATION :

2 classes 4 niveaux, pour faire une école primaire complète il faut faire une classe de plus appelée T5 qui correspond au CM2.

Pour cela il faut plus de place, Anne marie propose de fermer la mezzanine pour améliorer les conditions de travail dans les deux classes (en septembre 2012).

Projet monter avec les représentant du FOKONTANY(assemblée micro local) d’utiliser une classe dispo dans l’établissement construit par le BIT à Vatoroka pour la classe T5. L’association embauchera un nouvel instituteur. L’instituteur de Vatoroka qui y travaille déjà, est payé par l’éducation nationale malgache. Il est important de ne pas créer des jalousies avec notre instituteur qui aura un meilleur salaire et de meilleurs conditions de vie (logement), il faudrait rétablir l’équilibre et payer un complément en plus du salaire de l’éducation nationale.

Pour notre nouvelle classe de T5 à Vatoruka, reste à trouver l’instituteur et lui trouver un lieu d’habitation. Les fournitures des élèves des deux classes de Vatoruka seront payées par l’association.

Proposé au vote « nouvelle classe de Vatoruka + complément pour instit et fourniture scolaire : « Pour » à l’unanimité.

 

 PARRAINAGES POUR LE COLLEGE F/D

Que vont devenir les enfants quand ils auront terminé la classe T5.

Anne marie raconte l’expérience du parrainage d’un enfant cette année, l’argent n’a pas été versé sur le compte du père de l’enfant par la banque Fivoy, alors qu’elle en avait ordre.

On s’en ait aperçu trop tard et l’enfant a perdu un trimestre de scolarité, il devra certainement recommencer son année. L’argent a été récupéré. Cette banque n’est pas fiable dommage car c’est une banque de microcrédit.

Parrain > banque Française de ZL (BRED) > Banque malgache de ZL (BNI) > Compte du parent du collégien (Fivoy).

Denis dit qu’il faut prioriser la fiabilité et verser aux parents l’argent du parrainage dans une banque plus fiable ou ceux-ci ouvriraient leurs comptes ex. BNI (frais bancaires 1€/mois). Garder l’argent à la Fivoy pour le parrainage professionnel

Faire un courrier à la Fivoy (AM) pour leur dire qu’on rapatriera les autres parrainages si la Fivouille montre qu’elle est fiable sur un an ou deux avec le parrainage pro. Il y 6 parrainages à faire l’an prochain (Fillastre, Sylvestre, Rolande, Léonette, Sigasy, Althée). Avec 5 parrains potentiels qui veulent s’engager en septembre, dont un qui veut s’engager dans la formation professionnelle (voir projet de Stéphanie).

Il en manque un, le parrainage qui manque peut être pris en compte par l’association, mais il faut un parrain de cœur ; courrier  suivi  relationnel. Patricia est ok pour être marraine de cœur d’une fille. Un boite postale est ouverte pour la communication avec les enfants – BP 262 – Fort Dauphin – Madagascar.

Proposition de Parrainage professionnel sur l’arboriculture, l’horticulture, l’agriculture, avec une préparation des enfants sous forme d’atelier fait par des pros locaux à l’école le vendredi (profiter du 4X4 de Myriam). Objectif autosuffisance et subsistance

 

 SANTE
En Février Anne-Marie M. a demandé à Valéry de faire une veille sanitaire sur le terrain car il y a eue beaucoup de problème qui auraient pu être évités si le Dr Myriam avait été au courant.

Valéry s’est donc beaucoup investi en plus de son travail d’instituteur en accompagnant Myriam le terrain le vendredi et hors temps scolaire. AM trouve qu’il serait normal de rétribuer Valéry sur ce travail et de lui proposer d’officialiser cette fonction avec un contrat de travail d’assistant sanitaire et une rémunération en rapport avec le temps passé. Pour cette première année passée nous lui donnerons sous forme d’une prime. Nous lui faisons confiance quand à la déclaration de ses heures.

Voté et Approuvé à l’unanimité.
Nous n’avons pas les moyens humains d’étendre les soins aux 1000 enfants de la presqu’ile.

 

5 – PROJET DE MISSIONS

 

PROJET SANTE (lien au projet)
3 semaines en mars 2013
Intervenant : 3 infirmiers sur le terrain, Denis B. Roseline G., Sylviane G.
Deux problématiques ; Pas de relation avec les guérisseurs et rester à minima dans la médication chimique pour ne pas rendre la population dépendante.
Anne-Marie M. suggère de former le guérisseur. Roseline G. propose d’aller rencontrer le sage femme matrone reconnue par les locaux et lui proposer de la  former aux soins et de la  payer. Son idée nous semble intéressante et sera expérimenté lors de cette mission.
Du fait que la mezzanine sera occupée plus de place pour les missionnaires donc il faut trouver une Grande tente marabout pour loger les intervenants de mars. Demander à l’antenne Réunion si elle peut trouver cette tente.
Denis dit que L’infirmerie devrait être localisée à Vatoroka ce serait plus intéressant car plus de population. Pas de besoins budgétaires important pour cette mission, il faut juste acheter  des vermifuges et quelques petites fournitures.
Quid de l’introduction d’intervenants en médecine parallèle reiki huiles essentielles ?
Denis dit Oui si compétence et souvent les plantes sont loco locales et il est difficile de trouver quelqu’ un qui a une large compétence. Gilles Lechevallier qui va effectuer une mission en septembre est intéressé dans l’utilisation des Huiles essentielles. Il sera mis en relation avec Myriam pour évaluer les besoins dans ce domaine.
Anne marie : Pour le projet santé il faut limiter les frais de transports  demander à  un mécène (voir plus haut transport).
Remi le compagnon de Roseline G. accompagnera la mission et Marc se propose également.

Marc propose d’accompagner l’équipe médical avec soutien logistique et autre (voir le projet).

 

 PROJET CLASSE CREATIVE  (lien au projet)
3 semaines en Avril 2013
Intervenant : Geneviève Chauveau, Catherine Servant, Véronique B., Cécile M. et Pan Erhart (sous réserve).
Continuité des ateliers créatifs de 2011.

 

 PROJET CARNET DE RENCONTRE (lien au projet)
3 semaines en Avril 2013
Intervenant : Véro B. et Cécile M.
Création d’un carnet de rencontre avec témoignages, histoire, … illustré.

 

 PROJET AGRICOLE (document détaillé à venir)
Plusieurs semaines en novembre 2012
Intervenant : Stéphanie C. et son compagnon
L’idée est  dans la continuité de ce qui avait été commencé par AM et Laurent Lebon de planter des arbres fruitiers, car l’agriculture est peu développée sur la presqu’ile, d’où l’intérêt d’une première approche avec les enfants. La plantation de fruitiers semble dans un premier temps la plus adaptée, car elle demande peu de suivi et de soins. Les arbres seraient plantés près des habitations des enfants.
Objectif : apporter des compléments alimentaires et donner envie aux enfants de continuer, susciter des vocations agricoles et permettre une forme d’autosubsistance.
 

Au préalable : Stéphanie souhaiterait annexer les parents au projet, par exemple en les invitant à une réunion pour leur expliquer ce qui va être fait…
Puis travail de sensibilisation des enfants avec les instituteurs. Présenter les plants fruitiers faire dessiner les arbres, le fruit, la feuille aux enfants, faire gouter (quand c’est possible) le fruit aux enfants. Leur faire choisir leur arbre.
Exemple d’arbres : arbre à pain, manguier, bananier, avocatier, goyavier.

Budget/achat : Les arbres seraient commandés sur place à Fort Dauphin (40 arbres = 40 euros).
Protection avec du grillage à se procurer sur Fort Dauphin. Acheter une pelle. Gants.

En parallèle un petit travail de sensibilisation à l’environnement sera fait sur : planter des arbres pour éviter l’érosion et l’appauvrissement du sol et éviter les feux de brousse, ramassage des ordures;
Ensuite Stéphanie et son compagnon étudierons la possibilité de plantation de bois de chauffe pour une fois ultérieure ainsi que la possibilité de cultures vivrières ( patates, igniame, haricots…) dans la perspective de développer d’avantage ce projet agricole sur les prochaines années, et trouver des intervenants locaux (presqu’ile + région de Fort-dauphin) qui pourraient continuer le travail commencé avec les enfants de façon régulière (environ 2 journées ou demie-journées par mois) afin de leur apporter des connaissances  et des compétences et d’en motiver certains une fois l’école primaire terminée à continuer dans cette voie.
L’idée est également de prospecter en fin de séjour pour trouver des personnes compétentes qui seraient d’accord pour d’ici 2014 former, loger et nourrir pendant le durée de formation déterminée les enfants qui pourraient être demandeurs, ( ceux qui par exemple n’iront pas au collège). Cela impliquera également de réunir par la suite  les parents concernés, et d’obtenir leur accord, de se procurer tous les éléments concernant la législation à ce niveau là; et de s’assurer également du bon déroulement des « stages mis en place » et d’assurer leur suivi. Il s’agirait donc d’une sorte de parrainage mais pour des petits stages techniques qui permettraient aux enfants de pouvoir par la suite se nourrir et nourrir leur famille et peut-être pour certain d’en faire leur métiers et de vendre leur production
Ce dernier projet va forcément demander un certain temps pour pouvoir être mis en place mais il nous semble très important de tout mettre en oeuvre pour y parvenir. Le projet agricole a déjà été initié il y a juste à  le relancer il n’y a pas besoin de voter un budget.

 

6 – DIMENSION DE L’ASSOCIATION

Discutions sur l’ampleur que pourrait prendre l’association.

La reconnaissance d’utilité publique : il nous faut un minimum de 200 adhérents pour avoir cette reconnaissance. Elle nous permet entre autre d’obtenir des fonds publics.

Pour AM : l’association doit rester une petite association à échelle humaine et garder le rythme local, évoluer doucement. Elle est rejointe par Denis B. et Véronique B. qui précise que grandir c’est aussi avoir une administration lourde à gérer.

Il est précisé que nous avons plus besoins de présence humaine sur le terrain que de fond.

Didier : il ne faut pas avoir peur de grandir, on peut être riche et humble.

Patricia : On pourrait par exemple parrainer plus d’enfant pour la suite scolaire.

Marc : On pourrait aider des personnes qui ne peuvent pas aller en mission faute de budget limité.

 

 7 – BILAN RAPIDE DES ACTIONS DE COMMUNICATION

-La Compagnie du Lys à La Chapelle aux Lys (Vendée) a organisé un spectacle de théâtre dont l’intégralité des dons a été pour ZL (500€ et 12 jeux de cartes). Ils aimeraient dans la continuité projeter le film. Merci et Bravo !

-La Soirée du 21 avril 2012 à Prémian (Hérault) a remporté un très gros succès (film/expo peinture dessin/artisanat de Lokaro/Diner/musique. Beaucoup de retour, financiers (2134€) avec des promesse de virements réguliers en +, des bénévoles (missions), 5 parrainages… Merci et Bravo !

– A ce jour 530 lots de cartes ont été vendus (2066€).

 

 8 – Rapide tour de table sur le bilan de ces deux journées

Globalement chacun dit sa satisfaction de la tenue de cette AG, de son contenu tant éthique qu’actif. Tous sont rassurés sur la justesse de ses vues et perspectives (tous sur la même longueur d’ondes).

Il est apprécié la pluralité des compétences que chacun apporte et apportera à l’association.

Remerciement commun à tous :

Merci à AM d’avoir pu être avec nous, nous espérons que ce sera possible pour les prochaines AG.

Merci à Marc Platret d’avoir mener cette AG d’une main (voix) experte. Merci à Marc et à Claude-Marie son épouse pour leur accueil chaleureux.

Merci (et bravo) à Patricia Bonneville pour les notes nécessaires à l’établissement de ce CR.

Et merci à tous d’être là d’apporter cette richesse humaine qui nourri Zanaky-Lokaro.

Marc nous invite à renouveler l’année prochaine l’AG à Baudrières.

-Clôture dimanche à 12h

 

Récapitulatif des points votés

A-Modification des statuts : l’Article 11 est trop limitatif.
Une proposition de nouveau texte sera faite. Ainsi que la création d’un règlement intérieur.
néanmoins le statuts prévoyant des exceptions nous votons sur 2 points :

1/ Allocation de frais de gestion : courrier (convoc. aux A.G. , compte rendu , bulletin d’adhésion ), sous forme de timbres et d’enveloppes ; et paiement de sup. de bagages (Réu./Mada) pour médicaments ou matériels pour les enfants ; qui figureront au budget prévisionnel.

2/ Allouer un forfait de 2000€ , pour 3 voyages de « mission de gestion » par an à Lokaro, sur le trajet Réunion/Mada . ….y compris l’acheminement jusqu’à l’école.

 B- Achat par l’association de 300 D.V.D. (4€/ piece) , sur le film réalisé à Lokaro ;

 C- Allouer un budget pour la création d’une nouvelle classe (T 5 ) à VATORUKA ; et d’un complément de budget pour l’instituteur de l’éducation nationale; (évitement de jalousie ou rivalité de traitement entre les deux formateurs).

 D- Attribution d’une prime à Valéry (avec bulletin de salaire) pour le travail supplémentaire d’aide aux soins des enfants réalisé cette année 2012 ; Et nouveau contrat de travail avec salaire pour le poste d’assistant sanitaire.

 Pour l’assemblée
VB-MP-AMM-PB