Le nouveau journal ZL 2016
Le nouveau journal Zanaky-Lokaro de fin d'année 2016 est disponible en ligne.
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Diaporama de la mission
Petite video d’un 1/4 heure sur notre mission
Les enfants de l’école pour cette rentrée 2016-2017
Mission OCTOBRE 2016
Intervenants : Geneviève Chauveau Véronique et Denis Bianchi
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Cette Année nous étions 3 intervenants pour notre mission d’octobre 2016.
Deux projets étaient proposés :
VOYAGE :
Nous avions choisi de faire le voyage Antananarivo>Fort-Dauphin en 4X4 par la route de l’est en 4 jours ce qui était très ambitieux mais réduisait le coût de location du véhicule. Le voyage s’est avéré très fatigant et chaotique mais passionnant et joyeux. Les traversées des zones urbaines et rurales nous ont permis d’ouvrir notre vision sur Madagascar. Les paysages étaient grandioses.
La rencontre avec Serge, notre guide et chauffeur accompagné de sa femme Tania a été très riche et des amitiés nouvelles se sont liées. La route nationale est dans un état lamentable et il y avait 10 bacs à passer dont un avec une corde tirée par les passagers sur les 2 km de rivière. Des enlisements en chaine de véhicules, nous ont permis de voir la solidarité des passagers entre eux… Pour nous ce n’était qu’une anecdote folklorique malgache… mais devant la patience à toute épreuve de ces hommes et ces femmes, dont les difficultés sont quotidiennes, nous inspire le respect.
Arrivés à Fort-Dauphin dans la soirée nous nous sommes installés au Mahavoky hôtel, où se trouve aussi le bureau de notre association. Le lendemain nous a permis de rassembler les provisions nécessaires aux 16 jours de séjours en autonomie. Il faut calculer au plus juste avec des denrées non périssables, pas de réfrigérateur à Lokaro. J’en profite pour faire un petit point avec Prisca notre secrétaire.
Nous partons le lendemain en 4X4 pour Lokaro. Le nouveau transporteur a des permissions pour emprunter la route goudronnée de la mine QMM, nous gagnerons donc du temps et des secousses.
ACCUEIL A LOKARO :
Arrivés à Lokaro, des enfants nous attendent déjà sur la plage. Nous sommes émus de reconnaitre leurs frimousses familières.
Valéry, Narcisse, Nazotoa et Filiastre viennent nous chercher avec la nouvelle Pirogue de l’association. Mr. Jean, le chef du village et son épouse Mme Edwige sont là aussi sur l’autre rive. Toute l’école est dans la cour pour nous accueillir.
le Hilton V est notre petit pied à terre, très bien équipé pendant le séjour d’Anne-Marie l’année dernière. Geneviève y dormira avec son hamac et nous choisissons de dormir dans une petite tente derrière la petite case. Le jour même nous installons le barnum du Rotary appelé modestement la « maison blanche » par les gens du village. Nous sommes prêts !
Nous visitons la nouvelle installation électrique qui marche à « plein tubes malgaches » surtout après l’école (sic). Ce qui donne un côté festif à nos soirées.
REUNION DES PARENTS D’ELEVES :
Le lendemain nous rencontrons les parents d’élèves venus très nombreux (une quarantaine). Ils sont très attentifs au discours de Valéry relayé par Narcisse et Nazotoa sur l’hygiène des enfants pour cette rentrée des classes. S’en suit une discussion très animée sur la responsabilité des parents. Des mères sont sollicitées pour la douche et les shampoings anti-poux des filles pour la rentrée scolaire.
Nous nous présentons, mais tous nous connaissent déjà.
Nous expliquons que nous sommes une petite association avec de très petits moyens que nous donnent nos adhérents qui se connaissent tous car c’est un réseau d’amis et de famille. Quelques organismes nous soutiennent mais ponctuellement. Nous devons beaucoup communiquer sur l’école pour sensibiliser les donateurs. Toutes les personnes qui viennent faire une action à l’école le font bénévolement. (cette petite mise au point était nécessaire pour que chacun comprenne que nous ne travaillons pas comme les ONG que l’on peut voir partout à Madagascar).
Nous parlons également de notre difficulté à trouver chaque année deux nouveaux parrains/marraines. C’est pour cela que deux enfants parrainés par an c’est un maximum.
Nous expliquons que nous ne viendrons plus si souvent à Lokaro car les billets d’avions sont vraiment trop chers et que beaucoup de nos adhérents rencontrent des difficultés. Certains parents sont inquiets de l’avenir de l’école. Nous les rassurons en leur disant que si nous ne sommes pas là physiquement nous nous arrangerons pour toujours apporter les fonds et gérer l’école à distance, c’est ce que nous faisons déjà.
Nous abordons aussi le fait que les lieux de l’école et des logements sont un espace de respect des enfants selon notre règlement.
Nous précisons que l’électricité à l’école est réservée à l’utilisation dans le cadre scolaire et pour le personnel de l’école, l’électricité n’étant pas un produit qui peut être vendu.
Nous soulignons que pour nous, qu’un ancien élève de Zanaky-Lokaro devienne instituteur stagiaire (Filiastre) cette année est un grand succès. Applaudissement des parents.
Nous présentons notre projet d’arts plastiques et activités manuelles et sollicitons des parents pour nous seconder, 2 jeunes mères dont la femme de Valéry viendront.
Denis présente sont projet santé et explique le système mis en place pour les soins dentaires avec le Dr Tolotra.
Pour finir nous expliquons que nous aimerions que les parents d’élèves et les élèves soient représentés dans une refonte de l’association Zanaky-Lokaro Madagascar. Nous travaillons sur cette refonte.
La réunion est terminée les parents se lèvent et viennent tous nous serrer la main.
ATELIER :
Nous démarrons dès le lendemain nos ateliers dans la maison blanche.
Nous avons divisé l’effectif des 76 élèves de l’école en groupes de 10 enfants par demi-journée. 5 enfants avec Geneviève et 5 enfants avec moi (Véronique). Lizo un ancien élève nous assistera spontanément pendant toute la durée du séjour. Merci à Lizo.
Geneviève a préparé des travaux d’origamis et des travaux de perles (bizbiz) qui ont comme toujours un succès fou.
J’ai (Véronique) préparé trois grandes toiles de 3,00m sur 0,90m que tous les enfants viendront peindre au pinceau par équipe de 5. Le thème est libre. Les peintures sont préparées sur place à base de pigments naturels, de gomme arabique et d’argile blanche que les enfants ont rapporté. Je remarque rapidement que les petits T2 T3 sont déjà très à l’aise avec la peinture. Je complète le travail avec un atelier de calligraphie de leurs prénoms, des portraits (toujours très drôles), et des peintures libres sur papier. Le plaisir du partage avec les enfants est toujours là. On est conquis par leur gaité communicative.
SANTE :
Denis consulte les enfants pour un bilan de santé. (rapport à la fin). Souvent dérangé par des adultes qui profitent de sa présence pour se faire soigner quelques problèmes de santé. Denis décide pour limiter le flux des curieux de les faire payer une somme symbolique qui ira dans la caisse de l’école avec une possibilité de troc. Ça marche les visites seront raisonnables et justifiées.
Le séjour s’écoule lentement au rythme des récréations et des distributions de fil de coton et de boutons.
VIE QUTIDIENNE :
La vie domestique est toujours très chargée de tâches en tous genres, du portage d’eau, à l’allumage du Fatapère (cuisinière à bois), à la chasse au mulots qui cohabitent mal avec Geneviève qui les trouve très bruyants et gourmands.
Le matin nous déjeunons des mofogasy de la gargote d’à côté. Le midi c’est Mme Edwige qui nous régale de son riz grain ! Heureusement le soir c’est Denis qui cuisine et nous sommes comblés parfois de gambas, crevettes ou noix de coco offertes par les parents d’élèves.
Le soir Nazotoa vient répéter une chanson de Michel Sardou « La Maladie d’amour » qu’il doit chanter devant l’alliance française de Fort Dauphin 15 jours après, pour la semaine de la Francophonie.
JOURNEE INTERVENANTS :
Le premier vendredi le docteur Myriam et le Docteur Tolotra viennent faire leurs visites. Le Dr Myriam consulte les enfants, Valéry enlève les habituels parasys au scalpel. Le docteur Tolotra fait un état des lieux et de la prévention buccodentaire avec les enfants. (Narcisse a un projet de lavages des dents quotidiens avec les élèves de sa classe T1-T2).
Nazotoa s’est isolé avec un petit groupe sous le palmier pour faire sa classe de chant et Narcisse son atelier bibliothèque et jeux ludique.
WEEK-END REPOS
Les WE, repos, nous partons découvrir l’île (village de Vatoroka, Tananolo, Itapera, ou lézarder sur les plages désertes de l’île d’Isaloatra).
A notre retour les collégiens et collégiennes de passages s’arrêtent discuter 3/4 heure et se faire prendre en photo pour leurs parrains, c’est bon de les voir grandir.
FETE DES AUREVOIRS :
Pour la clôture de notre séjour nous organisons un grand goûter chocolat au lait, gâteaux avec des petits cadeaux de fils de couleurs, perles et boutons dans des petites enveloppes… succès fou.
Comme à notre habitude, nous leur chantons une chanson, cette fois nous choisissons la chanson de l’audition de Nazotoa. Rires et joie. Puis les enfants nous chantent « Veloma » et dansent pour nous. Nous poursuivons la fête par des rondes et des jeux.
Nous nous quittons avec une larme et beaucoup d’émotions. Le démontage et les préparatifs de départ terminés, nous nous réunissons pour une réunion de bilan avec les instituteurs.
Nous sommes heureux et tristes de quitter cet endroit et ses habitants.
Nous repartons le lendemain avec l’incontournable 4X4 jusqu’à Fort-Dauphin où nous attend notre avion et notre vie quotidienne.
Merci aux enfants, instituteurs habitants de Vatoroka et Lokaro de votre accueil et à bientôt.
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Réunion de bilan de fin de mission avec les instituteurs
le 25 octobre 2016 pour cette mission.
Etaient présents, Valéry, Nazotoa, Narcisse, Filiastre, Denis, Véronique et Geneviève.
Denis propose qu’on parle chacun notre tour sans commentaire des uns et des autres.
OK à l’unanimité.
Nazotoa
Je suis satisfait du séjour entre nous. Ça s’est bien passé et même si vous êtes d’abord là pour les enfants et les ateliers, nous avons partagé avec vous la joie. Nous sommes satisfaits. Je vous remercie pour votre passage ici et j’aimerais encore vous revoir. Notre collaboration marche bien car nous avons le même but, les enfants. Je suis prêt à continuer la suite. Encore merci pour votre facilité et votre aide.
Narcisse
Je suis très heureux que vous soyez ici. Par rapport à l’an dernier, j’ai progressé pour le français. Je suis satisfait pour votre travail avec les petits, pour l’échange et la distraction entre nous. J’ai envie de faire les échanges de lettres avec l’école primaire de St Pons qu’a proposé Geneviève. J’aimerais encore que vous reveniez. Je comprends que ce n’est pas facile pour vous de venir car vous êtes très occupés. Merci pour tous les enfants qui étaient heureux et avaient du courage quand les vasahas sont parmi eux. Nous avons peur que sans les vasahas nous n’ayons plus d’école. Pour les familles aussi c’est important car ils se sentent soutenus.
Valéry
Merci beaucoup pour votre partage pendant ces 15 jours. Pour les activités manuelles et pour la santé. Tout s’est bien passé. Les enfants étaient contents. Merci à vous de vous occuper de la santé des enfants. C’est à moi de continuer jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Je souhaite une bonne santé pour votre sœur malade (Marie-Odile). Merci pour votre séjour. Je vous souhaite un bon voyage et un bon retour en France. Que Dieu vous bénisse.
Filiastre
Je suis content quand vous venez à LOKARO, Mme Geneviève et Mme Véro pour travailler avec les enfants et aussi Mr Denis pour la santé. Mon stage marche bien avec Mr Valéry. Merci. Bon voyage également.
Denis
J’ai confiance en vous et aux enfants. Vous êtes honnêtes et faites du bien aux enfants. Continuez à bien faire votre travail. Ça change l’ambiance de l’école que les âges des enfants par niveaux soient respectés.
L’école c’est aussi des locaux. L’école, mais aussi les toilettes sèches, les logements des instituteurs, le Hilton 5. Il faut donc veiller à réparer quand il y a besoin. Entretenez les locaux et l’association suivra.
J’étais content d’être là.
Véronique
Le but de cette association c’est que l’école fonctionne toute seule (organisation, structure et humains (les instituteurs et Prisca). On peut compter sur vous, j’en suis sûre. Ayez le plus d’initiatives possibles car vous êtes à même de faire pour le mieux, vous connaissez les besoins réels des enfants et de l’école car vous êtes sur le terrain proche et au quotidien. L’association soutiendra toujours les initiatives qui apportent du bien à l’école. Nous les vasahas, nous sommes parfois décalés de la vie de Lokaro, par notre éloignement et nos différentes cultures et nous ne nous comprenons pas toujours et parfois même, il y a des malentendus. C’est important d’en tenir compte et de faire attention que l’autre ait toujours bien compris.
Depuis que nous venons à LOKARO (2011), nous voyons les changements ; de plus les enfants sont en meilleure santé, leur hygiène a progressé. Nous apprécions vos activités comme la musique et le chant avec Nazotoa, la bibliothèque avec Narcisse. La santé avec Valéry. C’est grâce à tout cela que l’école et les enfants évoluent.
L’initiative de Narcisse de distribuer aux collégiens le journal pour qu’ils gardent le lien avec l’école est une très bonne idée je trouve. Les collégiens sont toujours concernés par l’école de plus ce sont les futurs parents.
Geneviève
Je suis contente d’être là et je vois combien il est important de faire des travaux manuels avec les enfants. D’abord c’est une grande joie pour moi de les voir heureux avec les perles, les rubans, les bracelets, car ils aiment se parer. Puis ces activités développent la concentration, l’agilité, la précision, la créativité, l’imagination.
Je suis très contente de faire la connaissance des deux nouveaux instituteurs Nazotoa et Narcisse et je trouve que vous faites une bonne équipe tous les trois.
Félicitation aussi à Valéry. Les enfants paraissent en meilleure santé qu’au début.
Merci à tous.
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Ce mois d’octobre 2016, je suis partie en mission à LOKARO pour faire des travaux manuels avec les enfants. Nous sommes toujours bien accueillis d’abord parce que ça les sort de leur train-train et qu’ils sont très curieux de nous voir vivre. Ils sont toujours autour de nous, des 7 h du matin, souriants parfois riants et ils nous observent aller chercher de l’eau au puis comme eux, laver la vaisselle par terre dans des bassines, avec de la cendre comme produit nettoyant, enlever les parasys comme eux, lire écrire. C’est vraiment une relation spéciale de proximité.
Je suis vraiment heureuse d’amener des perles, du papier pour faire de l’origami, des fils, des boutons. Tout les met en joie et tout les intéresse. Je vois combien c’est important pour développer de la concentration, de la précision, du créatif. Ils repartent avec leurs objets confectionnés comme des trésors. Quelle joie pour moi d’apporter cela. Ils en redemandent même les grands du collège qui sont venus nous rentre visite le we.
Je remercie au passage tous ceux qui ont contribué à réaliser (aide financière pour le voyage et le don de perles, fils, feutres pour les activités manuelles). Ils nous demandent de revenir l’année prochaine (impossible tous les ans). Mais si ça intéresse quelqu’un, n’hésitez pas. Les instituteurs apprécient aussi nos visites, ils trouvent les enfants très motivés et très gais de notre présence.
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Pour la première fois depuis quatre missions, je constate que les âges des enfants sont en adéquation avec leurs cycles scolaires. Ceci influe sur l’ambiance de l’école qui reste joyeuse, mais plus disciplinée. La rentrée vient juste de s’effectuer, les enfants sont organisés pour le lavage des mains, trois postes avec des tours de service. Cela marche bien. Les alentours de l’école sont soignés, les toilettes sèches sont utilisées par les petits et les grands, et les « mauvaises surprises » au sol sont rares. Je retrouve les enfants avec plaisir. Les instituteurs aussi. Après l’installation d’usage, le travail commence.
Il y a 76 enfants à voir.
Je les vois les uns après les autres, dans la tente barnum montée à l’occasion de notre venue. Celle-ci rend de bons services car nous occupons un espace qui ne gène pas l’organisation générale de l’école.
Les enfants sont globalement en bonne santé, beaucoup mieux qu’il y a quelques années. J’en relève une dizaine de très fragiles, qui bénéficient ou bénéficieront d’une cure de spiruline en lien avec Valéry. Tous les enfants sont vermifugés avec l’aide des instituteurs. L’implication de Valéry est probante. Nous faisons le point sur l’état général des enfants et le félicite pour la qualité de son travail et des compte-rendus qu’il m’envoie au décours de l’année.
Le vendredi suivant, le docteur Myriam vient à Lokaro avec le docteur Tolotra (dentiste). Séance de consultation. Myriam semble décidée à venir une fois par mois car son nouveau travail au village d’enfants lui laisse des « RTT ». Nous convenons que les enfants sont en meilleur santé, plus propres aussi. Peut-être est-ce l’effet d’imitation des frères et sœurs précédemment scolarisés ?. Pour le moins, les enfants ne sentent pas mauvais et l’odeur « aigrelette » des sueurs accumulées a disparu des classes.
Nous convenons que le docteur Tolotra devrait accompagner Myriam lors de ses venues. Il fera les extractions sur place. L’électricité maintenant sur l’école, lui permettra de faire des soins avec du matériel de brousse adapté (le docteur Tolotra semble avoir déjà une expérience de soins en brousse). Pour ses défraiements, je lui ai demandé qu’il nous fasse des factures mensuelles qui lui seront réglées avec le nom de l’enfant et les soins apportés. Le système lui convient. Nous déjeunons tous ensemble ce jour, dans une ambiance sympathique et agréable. Les visites ayant lieu le vendredi, je demande à Myriam et au docteur d’être sur place dès 8h30 pour optimiser leur présence, ce dont ils conviennent.
A cette période de l’année pas de paludisme. Toutefois on note une quasi permanence d’infestation et beaucoup d’enfants restent touchés au décours de l’année. Le docteur Myriam nous fournira en tests et en traitements comme les années précédentes.
L’armoire à pharmacie est rangée, triée.
La nouveauté cette année aussi, c’est l’introduction d’un coût pour les adultes. Devant les multiples demandes, j’ai décidé de faire payer les consultations à un tarif symbolique mais dissuasif pour les curieux. Si les adultes, n’ont pas d’argent, ils offrent un service. Les vieillards et les urgences sont évidemment exclus du principe. L’argent a été reversé à la caisse des écoles.
Quelques consultations d’enfants non scolarisés, dont une sévère crise d’asthme chez une enfant qui a fini par se rétablir malgré l’attitude « opportuniste » de la mère.
Le reste du séjour, a été mis à profit pour suivre les classes, réunions diverses, assurer l’intendance pour mes deux acolytes. J’ai profité aussi de la beauté du lieu, de la mer.
Un bon séjour, bien accompagné, après un périple à travers le sud malgache toujours surprenant.
J’en profite pour remercier tous les donateurs qui permettent l’achat de médicaments, les gens qui s’impliquent, et j’invite chacun à se projeter dans un séjour sur place, avec ses connaissances, son envie, un projet et sa curiosité.
Denis
Compte rendu de Nazotoa
Après les vacances, les enfants sont tous heureux de revenir en classe et surtout de savoir qu’on aura bientôt des visiteurs (Mr Dénis, Mme Véronique et Mme Géneviève). Les visiteurs sont venus le 11 Octobre 2016 et ils sont restés avec nous environ 15 jours.
Le jour de leur venue, ils ont installé le chapiteau et la toile de tente.
Le lendemain matin (2ème jour), il y avait la réunion entre eux et les instituteurs ; l’après-midi c’était la réunion avec les parents d’élèves. Nous avons abordé beaucoup de thèmes:
le fonctionnement de l’Association Zanaky Lokaro et leurs buts
la présentation de l’atelier pendant leur séjour à Lokaro
la présentation du nouvel stagiaire (Mr Filiastre)
la propreté, l’hygiène et la santé des enfants
l’électrification
le parrainage
L’autonomie etc. . . .
Le 3ème jour, c’est le jour de l’œuvre. Tout le monde réalise sa tâche avec joie. Mr Denis avec le travail de la santé, Mme Geneviève avec le travail manuel et Mme Véronique avec la peinture, ils s’occupent de tous sous le chapiteau et nous quatre dans nos classes.
Les élèves n’hésitent donc pas à se diriger vers les trois adhérents pour faire des activités.
INCROYABLE MAIS VRAI
Il y avait une intervention avec le Dr Tolotra et le Dr Myriam le vendredi 14 Octobre 2016. Le jeudi 13 Octobre 2016, Mr Denis est allé à pied sur la plage de Lokaro à Fort-Dauphin en faisant 3h de route au lieu de 4h15mn. Il est revenu à Lokaro avec la voiture de l’intervenant le lendemain même.
Chaque fois qu’il y a des adhérents à Lokaro, nous partageons la table ensemble.
Nous avons goûté le lait chocolaté avec du cake le Mardi 24 Octobre 2016 après-midi. Les enfants se sont beaucoup régalés. Ils ont reçu des cadeaux également. Enfin le plus merveilleux pendant ce temps est le Spectacle. Nous avons chanté ensemble (moi, mr Denis et Mme Geneviève) la chanson de Michel Sardou : « La maladie d’Amour »; nous avons choisi cette chanson car chaque soir nous l’avons répété ensemble. Ensuite, moi et les élèves l’avons chanté ensemble. Tout le monde a eu la joie de la chanter.
D’après le bilan, tout le monde est satisfait (les visiteurs, les instituteurs et surtout les élèves).
Nazotoa
CR du 4 au 24 juillet 2016
Jean-Marie WISNIOWICKI et Anne-Marie MIGNET
PREMIERE PARTIE :
ELECTRIFICATION ET 3e LOGEMENT
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Les jeunes de Mad’Act repartent à Fort-Dauphin dans l’après-midi : la ville va leur offrir des divertissements qu’ils ne peuvent pas avoir en brousse et ils veulent faire quelques ballades dans la région ce qui est bien compréhensible car les vacances sont courtes… Jean-Marie et moi nous sommes à Lokaro jusqu’au dimanche 17. Nous sommes seuls et un peu perdus après ce tourbillon d’activité.
6 jours à Fort-Dauphin – Je ne sais pas si la situation a empiré, si je suis trop connue à Fort-Dauphin ou si je supporte de moins en moins cette misère de la ville… J’aime marcher et cette fois-ci je n’ai pas pu…
sollicitations de tous ceux que je croise : ils me connaissent, ils ont tous besoin d’aide et me racontent tous leurs difficultés (enfants des rues, mendiants, jeunes mamans)…Est-ce que je suis lâche quand je cherche à les éviter ?
Heureusement il y a Myriam et sa collaboratrice Voahirana ça me fait du bien de les voir et de passer une après-midi avec elles dans le village SOS. Voahirana est directrice de l’école du village SOS. Elles nous font un très bel accueil et nous avons des échanges très intéressants sur le fonctionnement du village et leur travail auprès des enfants.
Avec Prisca nous préparons activement la rentrée afin que tout puisse se faire sans moi. Nous commençons à nous organiser pour un accompagnement à distance
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DEUXIEME PARTIE :
Réunion avec le personnel salarié de l’école
Les instituteurs Valéry, Nasotoa, Narcisse
et la secrétaire Prisca
1 – Les résultats du CEPE
Valéry nous fait part des résultats de cette années : 10 élèves inscrits, 7 reçus, 3 échoués. Les 2 meilleures moyennes sont celles d’Alice et de Bertrine. Le seul garçon inscrit est reçu sans la moyenne. Question ? Devons-nous garder notre règle : 1 fille – 1 garçon parrainés ?
Les résultats sont mauvais cette année pour cause de modification du programme et des types de sujets d’examen.
2 – Sortie de T5
Valéry demande que les élèves qui sortent de T5 reçoivent 2 dictionnaires : un dictionnaire malgache/français et un dictionnaire français/malgache.
3 – Les douches des enfants
-Toilettes : Narcisse a donné la douche aux enfants chaque jeudi. Je leur suggère de mettre en place des parrainages des grands vers les petits afin que les élèves soient autonomes sur la toilette. Il faut
4 – Formation à l’Alliance Française
Il est reprécisé que les enseignants ont la possibilité de s’inscrire sur les formations proposées par l’Alliance française pendant les vacances.
5 – Besoins en matériel musical
Nazotoa aimerait avoir une guitare et un clavier pour les cours de chants.
6 – Un 4e instituteur
Nous essayons de clarifier la possibilité de recruter un 4e instituteur :
– qu’il soit ancien élève de l’Ecole Zanaky Lokaro
– qu’il ait son BEPC
– Il fonctionnerait en double sur les 3 classes pendant au moins une année ou deux
– Il aurait la responsabilité d’une classe lorsqu’un des instituteurs serait appelé à s’absenter pour une raison administrative ou de formation.
Je demande à Valéry de commencer l’information auprès des jeunes collégiens afin qu’ils puissent postuler.
8 – Participation des parents à la coopérative scolaire
Elle sera de 5 000 ariarys par famille et par an pour la prochaine année scolaire. Je signale que la gestion ne doit pas être faite par Valéry mais par un de ses collègues : c’est Narcisse qui se propose.
10 – Divers
Une remarque sur les visites de Myriam : ils sont parfois prévenus trop tard et n’ont pas le temps de s’organiser.
ANNE-MARIE
AG 20/21 mai 2016 - Cabrafol - St Vincent (34)
RESUME AG DU 20/21 MAI 2016 à Cabrafol – St Vincent d’Olargues (34)
Présents | Excusés |
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Barrau Chantal
Bernardot Vince Bianchi Denis Bianchi Véronique Bonneville Patricia Bonneville Didier Braux Odile Culier Stéphanie Grzeszczak Roseline Guyon Sylviane Le Deun Elisabeth Mas Marielle Meignant Cécile Mignet Anne-Marie Ranjamino Fara Trichet Patrick Hazard Marieke (le dimanche)
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TOTAL Présent : 18 personnes | TOTAL excusés : 21 personnes |
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Composition des Membres
2 membres sortants |
Reconduction du bureau
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DEBAT DU DIMANCHE
THEME : L’autonomie
1er partie
Témoignages d’Elisabeth et Anne-Marie
qui y sont allées cette année.
Elisabeth octobre 2015
J’appréhendais d’y aller seule même si j’avais déjà fait 3 missions précédemment avec différentes personnes.
Ce qui m’a facilité l’organisation : Prisca m’avait réservé un 4×4, l’hébergement chez Raymonde.
J’ai fait les courses pour ma semaine à F/D avant de partir. Lorsque nous sommes partis il y avait 9 personnes dans le véhicule (le chauffeur et un aide, les 3 instituteurs, Patricia la femme de Valéry et ses 2 enfants et moi…) j’ai eu du mal a m’imposer pour avoir ma place confortable à l’avant. La benne arrière était pleine avec beaucoup de matériel. Nous avons pu prendre la route de Mandena parce que le véhicule que nous avions est autorisé. La piste est très dégradée mais nous sommes arrivés à bon port.
A l’arrivée nous nous réunissons avec les maîtres pour organiser le planning de la semaine : travail dans les 3 classes tous les jours avec les outils suivants : marionnnettes et jeu de cartes afin de mettre en place des situations de dialogues pour l’oralisation. Les marionnettes discutent dans les 2 langues (bi-linguisme) sous forme de dialogue. En fin de séance nous prenons des notes écrites sur le déroulé du dialogue.
Avec le tarot des mille et un contes : chaque groupe doit écrire un conte et venir devant les autres pour décrire les cartes et raconter son conte.
Valéry a du mal à s’impliquer, il profite de ma démonstration avec les enfants pour faire son travail administratif. Il serait utile de lui demander pourquoi ?
Mon ressenti personnel : j’ai du mal à accepter que les enfants soient très tôt le matin devant la porte en observation. Les soirées seule sont meublées par les CR et la lecture. Le Hilton est très confortable.
Anne-Marie mars 2016
J’ai fait un séjour d’un mois avec 3 semaines effectives sur place.
la première semaine à Lokaro : dernière semaine du trimestre après les compositions. J’avais demandé aux enseignants de voir avec les enfants quelles activités ils aimeraient faire avec moi : nous avons fait de la peinture, des jeux, des perles…. Ils étient tous contents et moi aussi. J’ai pu réunir les parents d’élèves pour présenter le projet d’électrification de l’école. J’ai aussi vu quelques uns des filleuls pour faire le point avec eux sur la correspondance.
La deuxième semaine à F/D avec Prisca et les enseignants pour une formation que nous avions intitulée : comment donner des nouvelles. (le matin) et l’après-midi Prisca a donné aux instituteurs une formation à l’utilisation de l’ordinateur pour donner des nouvelles : mails, skype. Ils ont pu faire des travaux pratiques en envoyant quelques mails (Denis, Patrick….). Ils ont accès à l’ordinateur du bureau lorsqu’ils viennent à F/D
La troisième semaine : accompagnement à la gestion pour régler quelques problèmes et voir avec Prisca tout ce que nous ne pouvons pas régler à distance. Elle a pu revoir La Poste pour la réception des courriers et des colis pour les filleuls.
2e Partie
AM termine avec l’introduction sur la suite du débat : « Comment envisager l’autonomie logistique à Lokaro ».
Ce qui lui manque lorsqu’elle va à Lokaro ce sont les échanges avec des gens de sa culture, les cercles de parole du soir.
Vince : évoque ses rencontres autour du repas avec les autochtones au Mali.
AM : A Lokaro nous ne retrouvons pas cette donnée culturelle mais madame Edwige la femme de Mr Jean vient tous les matins pour le petit déjeuner et le soir pour l’apéritif (sirop de grenadine).
A.M. : Ne veut plus y aller seule. Fara propose d’afficher en début d’année un calendrier des missions avec les thèmes afin que ceux qui veulent y aller puissent s’y inscrire. La mission de rentrée d’octobre 2016 est déjà prévue. Il vaut mieux éviter la période de décembre à mars car c’est la saison des pluies : il est difficile de circuler et le paludisme bat son plein !
Vero : on parle d’autonomie fonctionnelle car ça fait 11 ans que l’association est créée et 8 ans que l’école est ouverte. Lorsque nous avons lancé le projet nous pensions que 10 années seraient nécessaires pour bien accompagner… cela nous ramène à février 2018 ! Il est donc temps de se poser la question sur l’autonomie. Ce serait bien de prévoir une fête pour les 10 ans et que les parents d’élèves soient sollicités pour cette manifestation.
Elisabeth : pense que l’électrification de l’école va apporter un plus par l’utilisation d’outils d’écoute pour le français et la lecture.
Fara : Prisca a commencé une formation des maîtres en informatique. Je m’interroge sur ce qui pourrait être mis en place pour l’apprentissage des mathématiques.
Denis : comment définir l’autonomie ? Etre souples et mouvants par rapport aux méthodes pédagogiques.
Roseline : l’autonomie sera plus facile lorsque Valéry sera déchargé de sa classe.
Elisabeth : le kamishibaï sur la santé était génial, je l’ai repris quand j’y suis allée. Pour l’autonomie ça me paraît important qu’il y ait des outils.
Véro : notre investissement est tel que nous proposons une école comme il n’en existe pas là-bas.
Vince : amener des outils mais les laisser décider par eux-mêmes.
Roseline : lorsque nous avons fait la formation pour la contraception nous leur avons laissé des outils (planches) qu’ils se sont appropriés eux-mêmes.
Fara : l’enseignement c’est une chose mais on est là aussi pour apporter plus.
Denis : pour aller pêcher il faut être en bonne santé. Nous sommes une force de propostion. Anne-Marie s’épuise, qui va prendre le relais. Nous devons compter les forces vives.
Didier : il ne peut pas y avoir d’autonomies sans projet local. Il faut sonder les différents intervenants sur place chef de village, parents, instituteurs… pour les mathématiques plus l’enseignement est concret plus il est adapté à ce qui se passe sur place. Ne pas favoriser l’ordinateur mais le calcul dans les champs, l’utilisation de la géométrie.
Véro : il ne faut pas confondre l’outil informatique pour
avec les enseignants et l’outils informatique pour les élèves c’est un autre projet qui n’est pas adapté à Lokaro. Pour aller vers l’autonomie nous avons besoin que les enseignants communiquent avec nous.A.M. : Il y a une association ZL sur place avec les villageois. Raymonde est trésorière elle est à F/D. Lorsque nous avons créé l’association beaucoup étaient illétrés. Depuis 8 ans cela a évolué et il serait bien qu’ils redynamisent et s’approprient l’association sur place à Lokaro.
Sylviane : ce serait à eux de définir leur demande car pour l’instant ils se reposent sur nous. Qu’ils y réfléchissent et qu’on en discute.
Marieke : Travailler dans le sens que ceux qui en ont bénéficié
s’impliquent et participent à la vie de l’école.Véro : se servir de la force vive qui s’est formée à l’école et qui pourrait ramener son savoir et développer une activité.
A.M. : Dans le domaine de l’éducation et de l’enseignement ils peuvent fonctionner sans nous. Les enseignants sont toujours très demandeurs de formation. En ce moment ils demandent une formation en musique.
Fara : qu’ils montent un projet et qu’ils nous le proposent.
Nous décidons de reprendre point par point les termes du bilan d’activités afin de nous rendre compte de ce qui reste à faire dans le domaine de l’autonomie.
Equipement – bâti : si nous finançons ils peuvent entretenir leur matériel ils nous l’ont montré cette année avec la réfection des toitures des bâtiments et l’entretien des toilettes sèches : instituteurs et parents d’élèves
Santé-soins : c’est ok pour l’autonomie, mais il est important d’entretenir les liens afin d’être attentifs aux besoins… Valéry montre une rigidité due à sa fonction de directeur son attitude a changé. Le décharger de sa classe lui permettrait de se détendre.
Véro : la décharge de Valéry devra passer par la formation du nouvel instituteur qui serait issu de l’école et passerait une année avec les autres pour l’apprentissage. En plus, en prenant un jeune qui habite la presqu’île nous n’aurons pas besoin de refaire un logement supplémentaire.
Rémi : prendre un instituteur issu de la presqu’île, n’aura-t-il pas des pressions ? (nous débattons à ce sujet et nous concluons que l’équipe pédagogique (l’ensemble des instituteurs) est garante de l’enseignement et l’éducation.
Ne faudrait-il pas prévoir un bureau pour Valéry ?
Didier : Quels sont les critères de sélection des instituteurs sur quelle base on se place pour recruter ?
A.M. : il y a une équipe pédagogique existante qui décidera.
Denis : on ne doit pas se désengager et nous devons garder quand-même une voix.
Vince : quand il faut prendre une décision l’association a une voix consultative et décisive.
Véro :
Ils peuvent nous proposer des projets et nous pouvons les étudier.Fara : est-ce que c’est nous qui devons avoir le dernier mot ?
Vince : comment réfléchit-on pour qu’il y ait un partage des décisions par rapport aux intérêts ?
Véro : C’est possible si les personnes sont désinteressés financièrement au projet et ce n’est pas le cas du personnel de l’association puisqu’ils sont salariés.
Notre éthique est de regarder leurs projets avec bienveillance et d’aller dans leur direction.
Sylviane : il faut leur faire confiance c’est un nouveau pas.
Environnement : Les parents ne prennent pas d’initiatives mais aimeraient participer davantage donc il y a de l’espoir.
Transport : Les instituteurs nous ont montré qu’ils étaient capables de monter un projet seuls.
Adminisstration et gestion : Trouver une personne de confiance pour assurer le fonctionnement du compte sur place car Raymonde s’absente souvent. Il y a 5 000€ à gérer chaque trimestre.
Rémi : demander à la banque de mettre une alerte.
A une demande exprimée auprès du Dr Myriam pour cette fonction elle a refusée car elle a dit qu’elle aurait des pressions.
Parrainages :
Didier : y-a-t-il un moyen de parrainer plus d’enfants ?
Véro : la gestion des parrainages est une charge en plus sur l’école c’est lourd ! Ce n’est pas l’objet de l’école. Il faudrait créer une association pour gérer les parrainages
Conclusion/Prospective :
Travailler sur le profil du poste que nous proposerions à Valéry et sur la personne ressource qui aurait la signature du compte.
Les référents pour cette mise en forme : Denis, Roseline, Anne-Marie, Stéphanie, Didier et Elisabeth. Les rencontres se feront dans la vallée avec un skype pour les personnes qui sont éloignées (Didier, Anne-Maire, Elisabeth…). L’information sera donnée à Valéry sur place.
Rendez-vous en 2018 pour fêter les 10 ans de l’école : à nous de trouver sous quelle forme ?
Fara : s’engage alors comme référent-lien avec les parents d’élèves pour leur donner une formation vers l’autonomie.
Elisabeth : propose de partir des livrets des délégués d’élèves distribuées en collège en France.
Vince : dit qu’il y a nécessité de créer du lien social autour de l’école.
Véro : suggère une réunion/fête d’école qui rassemble tous les partenaires chaque fin d’année.
Sylviane : Si Mr Saosy fait régulièrement des aller-retour sur F/D il pourrait passer au bureau de Prisca pour transmettre des infos concernant les parents d’élèves à Fara qui devient la référente, selon une demande de participation qu’il avait formulé.
Nous terminons cette AG par le choix d’une date pour l’année prochaine :
1er ou 2e WE de septembre 2017
le lieu reste à définir mais Fara et Patrick proposent leur lieu, à confirmer.
Chèr-e-s adhérent-e-s,
Nous avons le plaisir de vous convier à la prochaine :
Assemblée Générale
de l’association Zanaky-Lokaro
W-E du samedi et dimanche 21-22 mai 2016
Dans le local collectif de Cabrafol
Lieu-dit « Cabrafol » – Camproger
34390 St Vincent d’Olargues
(Hérault – Haut-Languedoc)
Ordre du jour :
Samedi 21 mai 2016 – matin
• 9h : DÉBUT DE L’AG
– rap
ports divers 2015 : d’activité, moral et financier et votes– le fonctionnement de l’association en France et à Madagascar état des lieux : où en sommes-nous aujourd’hui pour les différents aspects de l’action :
scolaire, santé, environnement, parrainages, équipement, autres (bâti, vie locale)
– les p
rojets 2016-2017Dans la matinée : Renouvellement du nouveau Conseil d’Administration et du bureau: présentation des nouveaux membres et des membres sortants. Cette année nous avons besoin de renforcer notre CA et bureau, si vous souhaitez nous rejoindre ou quitter le CA merci de prévenir la secrétaire.
• 12h30 : fin de la première partie, pique-nique sorti du sac et balade ou repos l’après-midi.
Dimanche 22 mai 2016 – matin
• 9h : début de séance
– témoignages des personnes qui sont allées à Lokaro cette année 2015/2016
– « Vers l’autonomie de l’école Zanaky-Lokaro »
Comment envisager l’autonomie logistique, partie intégrante du projet associatif Z-L ?,
(état des lieux, pourquoi ?, comment mettre en place un fonctionnement autonome, conditions de la réussite, scénarios possibles de transition…).
– débats ouvert à tous.
• 12h : CLOTURE DE L’AG – Repas convivial
VOUS ÊTES BIENVENUS, venez nombreux !
Merci de nous prévenir de votre participation avant début mai.
Vous trouverez ci-joint la convocation et les détails pour s’y rendre et séjourner.
Si vous ne pouvez vous y rendre pensez à envoyer votre procuration.
Merci à vous tous et à bientôt
L’équipe du bureau
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Zanaky-Lokaro – antenne métropole (secrétariat métropole : Véronique Bianchi)
Pradels 34390 St Vincent d’Olargues
04 67 97 84 09 – 06 01 99 80 32
INFOS PRATIQUES AG 2016
A propos de l’hébergement :
le WE se déroule au local collectif de Cabrafol.
Pour l’Hébergement, les bénévoles qui habitent localement vous accueilleront volontiers chez eux, contactez véronique Bianchi qui vous mettra en contact.
Prévoir les draps. Accueil dès le vendredi soir, jusqu’au dimanche Après-midi.
A propos de la restauration :
Vendredi 21 mai soir : repas chez les hôtes (participation libre auprès des hôtes)
Samedi et dimanche matin petits-déjeuners chez les hôtes (participation libre auprès des hôtes).
Samedi midi : pique-nique sorti du sac de chacun, prévoyez d’amenez vos spécialités solides et liquides.
Samedi soir : plat cuisiné préparé par les bénévoles (participation libre).
Dimanche midi : pique-nique (composé des restes).
Merci de répondre rapidement et au plus tard le 01 mai pour l’organisation du couchage et les repas du soir.
Merci de prendre contact avec Véronique Bianchi
04 67 97 84 09 – 06 01 99 80 32 – zanaky.lokaro.metropole@gmail.com
Pour connaître le lieu
https://goo.gl/maps/niGnYHQ6ieo
GPS : 43°33’15.1″N 2°52’07.2″E
St Vincent d’Olargues est situé au nord ouest de l’Hérault (34) entre BEDARIEUX (OLARGUES) et ST PONS.
St Vincent d’Olargues se trouve à 1h de Béziers, 1h30 de Montpellier, 2h de Toulouse, 1h de Narbonne) dans le Parc naturel de Haut-Languedoc.
TRANSPORTS EN COMMUN
En arrivant à Montpellier :, un autobus part de Montpellier (gare de Tram Mosson) plusieurs fois par jour et fait le trajet jusqu’au village de St Vincent d’Olargues (compter 3 heures).
En arrivant à Béziers : un train part de Béziers jusqu’à Bédarieux puis autobus jusqu’au village de St Vincent d’Olargues.
En venant de Toulouse : un train part de Toulouse jusqu’à Mazamet puis autobus jusqu’à St Pons de Thomières. (Possibilité d’aller vous chercher à St Pons si organisé suffisamment à l’avance).
N’hésitez pas à demander d’être mis en relation si vous souhaitez covoiturer s’y prendre le plus tôt possible).
Attention pour le parking tél au 06 01 99 80 32