Bonjour,
Avant tout une pensée pour Pierre Rabhi, il nous faudra bien répondre à notre VÉRITABLE VOCATIONS qui n’est pas de produire et de consommer sans fin, mais d’aimer, d’admirer et de prendre soin de la vie, sous toutes ses formes. Merci, Merci, Merci, Pierre.

À Madagascar, le problème majeur du Grand Sud, est le manque d’eau, d’où la sous nutrition élevée et la forte insécurité alimentaire ( Amboasary, Ambovombe, Ampanitry, Betioky, Betroka) où les populations sont vulnérables surtout les femmes enceintes où les Allaitantes, les enfants de moins de 5 ans, dans les zones les plus reculées peu couvertes par les centres de santés. Depuis 2013, l’organisation « Actions contre la faim » a contribué à la structuration et la mise en place des organisations de la société civile autour de la nutrition (Plate forme HINA), et des ONG Malgaches de 2020 à 2024. Elle a mis en œuvre un programme intégré d’appuis à l’agriculture visant à améliorer la sécurité Nutritionnelle des ménages ruraux.

Il y a surtout un problème d’éducation et certains villages ont des tabous qui mettent les populations en danger de famine, je pense au tabou du manioc qu’il est interdit de faire sécher pour le conserver, au tabou d’arrosage interdiction de faire des canaux d’irrigation pour développer des rizières… je crois que l’éducation est la seule possibilité pour ces populations de pouvoir un jour sortir de la misère, c’est pourquoi je suis en complet accord avec la démarche de l’Association Zanaky-Lokaro.

MAX POUJOL,
Trésorier à l’Alliance Française à Fort Dauphin